Voici une vidéo introductive de Guy Corneau:
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=V0KgNyHzMxw[/youtube]
Voici complémentairement un article paru dans le journal de Montréal:
Guy Corneau prouve par son amélioration saisissante dans un stade de cancer habituellement terminal , que le cancer est quelque chose qui a une assise intérieure en nous et que le rétablissement passe par une attention intérieure, émotionnelle, spirituelle…
Bien souvent devant cette maladie , la peur s’installe et la personne atteinte s’en remet aux traitements du corps sans investir les questions intérieures, voilà pourquoi l’expérience et la justesse de Guy Corneau constituent un message important établissant un lien important avec la dimension Psycho-énergétique!
Je vous laisse découvrir cet article…
COMBAT CONTRE LE CANCER
Guy Corneau a reçu une leçon de vie
Guy Corneau, populaire psychanalyste, combat un cancer depuis sept mois. Il se confie aujourd’hui sur cette dure épreuve et cette leçon du destin.
Guy Corneau, 56 ans, rassure d’emblée. «Mon cancer est sous contrôle, ce n’est pas guéri, mais je m’en remets», confie-t-il avec une sérénité déroutante, bien assis dans son cabinet d’Outremont.
Après six mois de chimio des plus intenses, son crâne est dégarni, mais il n’a rien perdu de son sourire.
La nouvelle lui tombe dessus au mois d’avril dernier. Il est alors à Paris pour le Salon du livre. À ce moment, il tousse de plus en plus. Il est fatigué, étourdi et essoufflé. Lui ne voit rien d’anormal, c’est son amie qui le force à consulter.
Les diagnostics arrivent à la chaîne: lymphome à l’estomac, un autre à la rate, les poumons sont aussi touchés.
Tout arrêter
Pour la première fois de sa carrière, il frappe un mur. Celui qui parcourt la planète pour donner des séminaires, qui orchestre des émissions de télé à Canal Vie et écrit des best-sellers, Le Meilleur de soi, est forcé de tout arrêter.
Celui qui guérit les maux des autres depuis 26 ans doit maintenant prendre soin de lui.
Il entreprend des traitements de chimio assez forts pour assommer un cheval. «Juste déplacer un verre d’eau, tu y penses 15 minutes; faire ta vaisselle, c’est au-dessus de tes forces», dit le frère de la peintre Corno.
«J’ai été chanceux parce que je n’ai pas eu d’effets secondaires, je n’ai pas perdu l’appétit ni eu de nausées, j’ai juste perdu mes cheveux et eu les doigts engourdis», dit celui qui souffrait déjà de colite ulcéreuse depuis des années. Une maladie qui lui imposait une diète stricte. Diète qu’il a complètement abandonnée dans son combat contre le cancer.
»J’ai mangé tout ce dont j’avais envie, même des desserts, je me disais c’est assez pénible on n’en rajoutera pas. J’étais rendu à 56 kilos, c’était mal parti, je me suis alors forcé à manger quatre, cinq repas par jour », dit-il.
Grâce à son bagage de psychanalyste, il admet qu’il était mieux équipé que la moyenne des gens pour combattre une si rude épreuve.
«C’est une grande chance d’avoir écrit des livres là-dessus, d’avoir la chance de connaître mes états intérieurs. Sans la méditation, je n’y serais pas arrivé», dit-il.
Trop de travail
Avec le recul, il dit comprendre pourquoi une telle chose lui est arrivée.
«Pour moi, les quatre dernières années, c’était un feu roulant. J’ai travaillé beaucoup trop fort, au mépris de moi-même, de mon corps et de ma vie affective», dit-il.
«Je savais que c’était trop intense, il y avait trop de stimulations et pas assez de temps d’arrêts», ajoute-t-il.
Il se dit extrêmement satisfait des soins qu’il a reçus à l’hôpital Notre-Dame: «Ce sont des anges, je ne sais pas comment ils font», dit-il. Ses anges, ce sont aussi ses bons amis, dont le comédien Claude Lemieux et le coiffeur Alvaro, qui ont été à ses côtés.
À lire ce samedi dans le cahier Weekend, une entrevue avec Guy Corneau sur son nouveau DVD, Le Meilleur de soi.
Les sept conseils de Guy Corneau
• «Il faut aussi s’ouvrir aux médecines alternatives, aux traitements énergétiques, à la méditation.»
• Il faut se forcer à manger malgré la perte d’appétit, pour ne pas perdre du poids et être en mesure de combattre.
• «C’est la joie qui guérit vraiment, il faut intensifier toutes les choses qui redonnent goût à la vie.»
• «Le cancer, c’est la manifestation physique d’un problème qui est d’abord affectif, spirituel; il y a beaucoup d’éléments en jeu». Il ne faut pas être passif envers les traitements de chimio. «J’ai fait beaucoup de visualisation, j’imaginais le traitement qui entrait dans mes cellules.»
• «La maladie, ce n’est jamais gratuit, je vois ça comme un message que mon inconscient essaie de me dire. Il faut parler à ses cellules, dire qu’on a compris le message.»
• Il suggère la lecture du livre Guérir, de David Servan-Schreiber.
Marie-Joëlle Parent
Le Journal de Montréal
21-11-2007
Je comprends une nouvelle fois combien les soins d’homéopathie , de la sphère émotionnelle, de tout ce qui est enfoui est prépondérant pour ouvrir une issue heureuse de la maladie, voilà en quoi je peux vous aider par ma contribution thérapeutique…
Pierre Marie
Bonjour Guy Corneau,
Je termine votre merveilleux livre où vous expliquez votre parcours…j’ajoute initiatique. C’est tellement bon de savoir que l’on est pas seuls sur le chemin de la spiritualité. Votre livre est à relire et encore et encore… C’est une corbeille de richesses. Merci à vous, ces êtres qui nous éclairent. Cher monsieur continuez votre guérison dans l’amour.
Etant dans le Reiki, ce soir sera une élévation et prière pour votre guérison.
Bien amicalement.
Paix et lumière pour vous.
e-mail : antineide@hotmail.fr